Le meilleur conseil qu’on lui a donné : gare à tes yeux.
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Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Je me souviens de l’histoire d’Alex, un jeune criminel qui aimait la musique de Beethoven.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Il y avait une fois un petit garçon qui était comme s’il était peint. Pas tout à fait, mais, c’est vrai, il ressemblait à une image.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Chaque semaine, je me mets en quête du concert qui changera ma vie ; en vain. Bientôt, je vivrai de mes souvenirs.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
J’ai passé tout un week-end enfermée dans un ascenseur, dans le chantier d’un immeuble.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Mon premier mort – et mon premier amour- fut Elvis Presley.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
La Chouette et le Chat ramaient au large dans une barque verte, aussi verte que les haricots verts.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
J’errais parmi les arbres rouges, parcourant le temps des feuilles.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Il avait toujours aimé les vêtements chics, les cravates en soie, à pois, à rayures, sans pois, sans rayures.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
Un jour, dans Needle Park, le parc « De la Piqûre », j’ai rencontré un garçon.
Soti Triantafyllou: Contes de désespoir
J’observe les femmes âgées dans le métro.